Pétitionnaire: Bruno Gomes
Pétition pour des forfaits au mètre carré des prix de logements pour assurer un accès au logement abordable pour toute la population
But de la pétition
Protection des futures générations et des jeunes adultes d'aujourd'hui pour l'accès abordable au logement, écarter les spéculateurs et investisseurs de ce droit de l'Homme
Motivation de la pétition
Objectif primordial : légiférer dans l'urgence absolue afin d’imposer des forfaits au mètre carré abordables (un prix maximal au mètre carré par région) au niveau national. Un prix maximal qui s’appliquera tant aux acquisitions qu’aux biens mis en location : 1) Le prix maximal au mètre carré devra être réparti au niveau du terrain et au niveau de la construction mais en aucun cas une plus-value sera possible. La plus-value est remplacée par une indexation; 2) Les propriétaires actuels ne doivent pas être lésés par ce nouveau système. L'État paiera la différence du prix maximal au mètre carré par région et le prix d'acquisition initial payé par les propriétaires; 3) La loi devra porter sur le principe d’une loi existante de Lex Koller (Suisse), c’est-à-dire empêcher les investisseurs résidant à l’étranger d’acheter des biens immobiliers (spéculation), parallèlement il y a aussi énormément d’investisseurs locaux qui retirent beaucoup de biens aux primo-accédant. Pour les résidents, on pourrait imaginer un nombre de propriétés maximal ? ; 4) L’État devient le principal promoteur public (comme pour le modèle de Vienne) tant dans le périmètre de construction que hors périmètre de construction (légiférer). Imposer lourdement les terrains constructibles et les logements habitables qui ne sont pas vendus ou mis en location; État des lieux : Cela fait presque 30 ans que la politique dit que cela va bientôt changer et l'explosion des prix et la destruction de l'avenir des jeunes sont déjà une réalité. Un jeune sur cinq, qui est âgé de 18 à 24 ans et qui travaille, risque de tomber dans la pauvreté au Luxembourg. (Wort, janvier 2019). Le pays prend la deuxième place de la zone euro pour le taux de risque de pauvreté des personnes qui travaillent, ce taux est même en hausse constante depuis trois ans : de 10,8 % en 2017 à 12,1% en 2019. Un chômeur sur deux risque de sombrer dans la pauvreté. Plus d’un tiers d’entre eux déclarent faire face à de lourdes charges financières liées au logement (Le Quotidien, avril 2021). Notons aussi nombre grandissant de résidents qui traversent la frontière pour se loger. C'est en France que la progression est la plus forte (+13,3% de 2019 à 2020 et même 24,6% et 31,2% les deux années précédentes). (Essentiel, juin 2021)
Les étapes de cette pétition
Demande concernant la poursuite de l'instruction de la pétition reclassée en pétition ordinaire
Le seuil des 4500 signatures n'est pas atteint pour la pétition publique n°1892, le 15-09-2021 - Nombre de signatures après validation: 320
Signatures électroniques validées: 320
La période de signature de la pétition publique n°1892 est clôturée, le 20-08-2021 - Nombre de signatures électroniques avant validation: 320
La pétition publique n°1892 est ouverte à signature, le 09-07-2021
Déclaration de recevabilité
La pétition publique n°1892 est déclarée recevable par la Conférence des Présidents, le 08-07-2021
Recevabilité: recevable
Date de début de la période de signature: 09-07-2021 à 0h00
Date de fin de la période de signature: 19-08-2021 à 23h59
La Commission des Pétitions a donné un avis favorable au sujet de la pétition publique n°1892, le 07-07-2021
Avis de la Commission des Pétitions: favorable
La pétition publique n°1892 est déposée, le 30-05-2021
Intitulé de la pétition: Pétition pour des forfaits au mètre carré des prix de logements pour assurer un accès au logement abordable pour toute la population
But de la pétition: Protection des futures générations et des jeunes adultes d'aujourd'hui pour l'accès abordable au logement, écarter les spéculateurs et investisseurs de ce droit de l'Homme
Motivation de l'intérêt général de la pétition: Objectif primordial : légiférer dans l'urgence absolue afin d’imposer des forfaits au mètre carré abordables (un prix maximal au mètre carré par région) au niveau national. Un prix maximal qui s’appliquera tant aux acquisitions qu’aux biens mis en location :
1) Le prix maximal au mètre carré devra être réparti au niveau du terrain et au niveau de la construction mais en aucun cas une plus-value sera possible. La plus-value est remplacée par une indexation;
2) Les propriétaires actuels ne doivent pas être lésés par ce nouveau système. L'État paiera la différence du prix maximal au mètre carré par région et le prix d'acquisition initial payé par les propriétaires;
3) La loi devra porter sur le principe d’une loi existante de Lex Koller (Suisse), c’est-à-dire empêcher les investisseurs résidant à l’étranger d’acheter des biens immobiliers (spéculation), parallèlement il y a aussi énormément d’investisseurs locaux qui retirent beaucoup de biens aux primo-accédant. Pour les résidents, on pourrait imaginer un nombre de propriétés maximal ? ;
4) L’État devient le principal promoteur public (comme pour le modèle de Vienne) tant dans le périmètre de construction que hors périmètre de construction (légiférer). Imposer lourdement les terrains constructibles et les logements habitables qui ne sont pas vendus ou mis en location;
État des lieux :
Cela fait presque 30 ans que la politique dit que cela va bientôt changer et l'explosion des prix et la destruction de l'avenir des jeunes sont déjà une réalité. Un jeune sur cinq, qui est âgé de 18 à 24 ans et qui travaille, risque de tomber dans la pauvreté au Luxembourg. (Wort, janvier 2019).
Le pays prend la deuxième place de la zone euro pour le taux de risque de pauvreté des personnes qui travaillent, ce taux est même en hausse constante depuis trois ans : de 10,8 % en 2017 à 12,1% en 2019. Un chômeur sur deux risque de sombrer dans la pauvreté. Plus d’un tiers d’entre eux déclarent faire face à de lourdes charges financières liées au logement (Le Quotidien, avril 2021).
Notons aussi nombre grandissant de résidents qui traversent la frontière pour se loger. C'est en France que la progression est la plus forte (+13,3% de 2019 à 2020 et même 24,6% et 31,2% les deux années précédentes). (Essentiel, juin 2021)