Ordinaire n°1891

Pétitionnaire: Carine Dabe

Reconnaissance de la Fibromyalgie par nos services de santé ainsi que par la société

But de la pétition

La reconnaissance de la fibromyalgie par nos services de santé et de travail est mon but. La fibromyalgie est un STOP à la vie du quotidien et du travail. Chaque personne atteinte est amenée un jour ou l’autre à réduire son temps de travail, à prendre une batterie de médicaments (beaucoup ... plus

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Les étapes de cette pétition

Icon process
17.12.2021

Déclaration de clôture

Déclaration de clôture Déclaration de clôture
14.12.2021

La pétition ordinaire n°1891 est clôturée, le 14-12-2021

Motivation de la clôture: Prise de position gouvernementale restée sans suite

22.09.2021

Transmission de la prise de position gouvernementale au pétitionnaire

Transmission de la prise de position gouvernementale au pétitionnaire Transmission de la prise de position gouvernementale au pétitionnaire
09.09.2021

Une prise de position au sujet de la pétition ordinaire n°1891 est disponible, le 09-09-2021

Ministre(s): Madame Paulette Lenert, Ministre de la Santé

Prise de position commune de la Ministre de la Santé et du Ministre de la Sécurité sociale Prise de position commune de la Ministre de la Santé et du Ministre de la Sécurité sociale
19.07.2021

Une prise de position est demandée au sujet de la pétition ordinaire n°1891, le 19-07-2021

Ministre(s): Madame Paulette Lenert, Ministre de la Santé

Demande de prise de position avec information au pétitionnaire Demande de prise de position avec information au pétitionnaire
07.07.2021

La pétition ordinaire n°1891 est déclarée recevable par la Commission des Pétitions, le 07-07-2021

Recevabilité: recevable

28.05.2021

La pétition ordinaire n°1891 est déposée, le 28-05-2021

Intitulé de la pétition: Reconnaissance de la Fibromyalgie par nos services de santé ainsi que par la société

But de la pétition: La reconnaissance de la fibromyalgie par nos services de santé et de travail est mon but.

La fibromyalgie est un STOP à la vie du quotidien et du travail.

 

Chaque personne atteinte est amenée un jour ou l’autre à réduire son temps de travail, à prendre une batterie de médicaments (beaucoup de vitamines et de relaxants musculaires) et avoir besoin de séances de kiné pour pouvoir continuer à bouger.

 

Cette maladie ne se voit pas et n’est pas comprise par la société. Vue de l’intérieur, c’est une souffrance au quotidien, un épuisement général qui entraîne une vie sociétale marginale. Un combat au quotidien !

 

Mobilisons-nous pour être reconnus, avoir droit aux soins remboursés et obtenir un complément de salaire. Il y va de notre santé.