Pétitionnaire: Jorge Dos Santos
STOP à cette « dictature sanitaire » !
But de la pétition
Inciter l’Etat à arrêter d’imposer des lois disproportionnées dans le cadre des mesures prises pour ralentir la propagation du COVID-19.
Motivation de la pétition
La question importante à laquelle nous sommes confrontés aujourd'hui est de savoir si la nécessité de réduire la transmission du COVID-19 doit justifier la perte de vie privée et des libertés qui l’accompagnent. Or, les mesures de maintien à domicile visant à ralentir la pandémie ne doivent ... plus
Les étapes de cette pétition
La pétition publique n°1748 est clôturée, le 21-04-2021
Motivation de la clôture: Demande concernant le reclassement en pétition ordinaire restée sans suite
Demande concernant la poursuite de l'instruction de la pétition reclassée en pétition ordinaire
Le seuil des 4500 signatures n'est pas atteint pour la pétition publique n°1748, le 17-03-2021 - Nombre de signatures après validation: 1495
Signatures électroniques validées: 1495
La période de signature de la pétition publique n°1748 est clôturée, le 12-03-2021 - Nombre de signatures électroniques avant validation: 1495
La pétition publique n°1748 est ouverte à signature, le 29-01-2021
Déclaration de recevabilité
La pétition publique n°1748 est déclarée recevable par la Conférence des Présidents, le 27-01-2021
Recevabilité: recevable
Date de début de la période de signature: 29-01-2021 à 0h00
Date de fin de la période de signature: 11-03-2021 à 23h59
La Commission des Pétitions a donné un avis favorable au sujet de la pétition publique n°1748, le 27-01-2021
Avis de la Commission des Pétitions: favorable
La pétition publique n°1748 est déposée, le 04-01-2021
Intitulé de la pétition: STOP à cette « dictature sanitaire » !
But de la pétition: Inciter l’Etat à arrêter d’imposer des lois disproportionnées dans le cadre des mesures prises pour ralentir la propagation du COVID-19.
Motivation de l'intérêt général de la pétition: La question importante à laquelle nous sommes confrontés aujourd'hui est de savoir si la nécessité de réduire la transmission du COVID-19 doit justifier la perte de vie privée et des libertés qui l’accompagnent.
Or, les mesures de maintien à domicile visant à ralentir la pandémie ne doivent pas être prises au détriment des droits de l'Homme.
C’est un fait que ces restrictions liberticides diminuent les possibilités pour l'opposition et les personnes ayant des points de vue différents d'être entendues et d'avoir une influence sur les décisions prises.
En outre, les couvres-feu peuvent déclencher une plus grande incidence de la violence domestique pour des raisons telles que le stress accru, les conditions de vie exiguës et difficiles, et l'effondrement des mécanismes de soutien communautaire.
Par conséquent, le gouvernement devrait éviter d'imposer des restrictions radicales à la liberté de mouvement et à la liberté individuelle, surtout lorsqu’elles ne sont scientifiquement pas justifiées comme par exemple pour la fermeture des restaurants.
Finalement, fermer les écoles ne fait que perturber les élèves: En temps de crise, les écoles procurent aux enfants un sentiment de stabilité et de normalité et leur assurent une routine et un soutien émotionnel pour faire face à une situation changeante.
Ceci sans compter les conséquences psychologiques de l’isolement.