La pétition publique n°1062 est clôturée, le 24-10-2018
Motivation de la clôture: Pas de poursuite de l'instruction
Pétitionnaire: Alain Lorang
Instaurer un régime de temps de travail dégressif pour les salariés à partir de 50 ans suivant le schéma suivant: A partir de l'âge de 50 ans: Réduction du temps de travail hebdomadaire de 40 à 36 heures De 55 à 60 ans: Réduction du temps de travail hebdomadaire de 40 à 32 heures De 60 ... plus
Le rendement physique et intellectuel diminue avec l'âge et le temps de récupération augmente. Pour contrer à cet effet, une réduction du temps de travail des salariés 50+ s'impose. Ces mesures: - facilitent et augmentent l'employabilité des jeunes et permettent au patronat une ... plus
Motivation de la clôture: Pas de poursuite de l'instruction
Recevabilité: recevable
Date de début de la période de signature: 24-07-2018 à 0h00
Date de fin de la période de signature: 04-09-2018 à 23h59
Avis de la Commission des Pétitions: favorable
Intitulé de la pétition: Pour un temps de travail légal dégressif pour les salariés à partir de l'âge de 50 ans sans perte de salaire
But de la pétition: Instaurer un régime de temps de travail dégressif pour les salariés à partir de 50 ans suivant le schéma suivant:
A partir de l'âge de 50 ans: Réduction du temps de travail hebdomadaire de 40 à 36 heures
De 55 à 60 ans: Réduction du temps de travail hebdomadaire de 40 à 32 heures
De 60 ans jusqu'à la retraite: Réduction du temps de travail hebdomadaire de 40 à 30 heures
Motivation de l'intérêt général de la pétition: Le rendement physique et intellectuel diminue avec l'âge et le temps de récupération augmente. Pour contrer à cet effet, une réduction du temps de travail des salariés 50+ s'impose.
Ces mesures:
- facilitent et augmentent l'employabilité des jeunes et permettent au patronat une meilleure transition des postes ;
- permettent aux concernés de récupérer mieux tant physiquement qu'intellectuellement et augmente donc leur rendement pendant le temps de travail diminué;
- prépare le futur pensionné à mieux vivre cette nouvelle situation d'inoccupation